Récit hélas totalement fictif, je n’ai pas encore trouvé ma couturière… Si une dame se sent inspiré par ce récit (en partie ou en totalité), je l’attends avec impatience…

La couturière. Le jour dit, je me rends au domicile de la couturière. La porte est ouverte, j’entre et une voix féminine dont je ne vois pas l’auteure m’indique : « La salle de bains est la deuxième porte à gauche ». Je m’y rends immédiatement en silence et me transforme en femme : talons hauts, bas opaques, joli string noir et petit bustier. Je me rends alors dans le salon… Féminine, en jupe courte, haut moulant et talons hauts, la Dame est assise sur son canapé. « Viens, petite chérie, que je te vois de plus prés » me dit elle.

Elle me fait me mettre à genoux et me palpe en douceur du haut de la tête aux hanches. « Relève-toi » ordonne t’elle. Je me relève, jambes écartées, et elle passe la main sous ma jupe, caressant mes cuisses, mes fesses puis devant …Elle saisit alors mon entrejambe, étire mes testicules, les tâte et les manipule longuement entre ses doigts puis me dit « Les ovaires sont en bon état, il faut juste les remettre à leur place. ». Puis elle saisit mon pénis, le décalotte et étire la peau, avant de gratter le gland de l’ongle ce qui me fait immédiatement sursauter. « Clito très sensible, mais beaucoup trop développé ; il faut le réduire et le remettre sous son capuchon ».

Elle me dirige alors vers la table en chêne du salon. "Bois ces gélules" m'ordonne t'elle ; je m'exécute puis elle me dit « Allonge toi sur le dos » . Je lui obéis immédiatement et elle m’attache les mains en croix aux pieds de la table, mon bassin fixé à la table tandis que mes pieds sont fixés écartés en arrière, mes cuisses en compas tirées vers l’arrière lui laissant libre accès au « poste de travail ». Elle sort alors des aiguilles stériles, du désinfectant, de la crème à la xylocaine et du fil de suture.

Elle désinfecte puis enduit généreusement la peau de ma future vulve de xylocaine, laissant la crème bien pénétrer. « Commençons par ton vagin » dit-elle. Elle rentre mes boules à l’intérieur, sans difficulté vu la largeur du conduit ; la pression pousse sur ma vessie et me donne envie de la …Action qui serait terriblement sanctionnée…Je les sens, enfoncées au fond de moi, maintenant transformées en ovaires au fond de moi. Puis elle serre des doigts le bas de mon entrejambe.

Je sens la piqure de l’aiguille qui pénètre ma peau sur le coté puis ressort, avant de se renfoncer et de ressortir de l’autre coté de mon scrotum redessiné. Elle fait alors le trajet dans l’autre sens et fait un point. Elle recommence trois centimètres plus haut et me dit, au moment du point : « ta vulve est bien serrée ; j’ai laissé de l’espace pour l’accès à ta chatte… Si cela ressort, je ferai un point de plus ». Puis elle continue, remontant jusqu’au gland enfoui.

Quand elle arrive là, elle continue mais en traversant le prépuce de son fil, emprisonnant le gland au fond de la fente et le transformant en un joli clitoris. C’est enfin terminé…Madame me libère et me tend un miroir pour que j’admire son œuvre : je n’ai plus qu’une fente entre les jambes, avec des grosses lèvres serrées d’un centimètre, une fente qui appelle au désir avec, tout en haut, un clitoris que l’on découvre en écartant les lèvres… J’adore et remercie Maitresse. « Maintenant tu vas pouvoir me servir ; pour l’instant tu ne sens pas grand-chose avec la crème mais bientôt cela se réveillera ; tu t’habitueras vite» me dit elle. « Arrête de te trémousser et va faire pipi dans le jardin ». Je m’y dirige avec empressement, m’accroupis, retrousse ma jupe... « Ecarte les cuisses ! A fond » dit elle.

Je m’exécute, exhibée comme une petite fille et je me relâche. Le soulagement est mêlé à la sensation étrange de la traversée de mon clito emprisonné et au plaisir d’avoir enfin une belle chatte, ainsi qu’à la honte de m’exhiber ainsi si intimement. Le jet part dans tous les sens et mouille ma belle vulve. « C’est bien, tu as une jolie petite chatte et je vais t’apprendre à bien servir ; mais essuies toi!" (je m'exécute, honteuse, avec le papier toilette qu'elle me tend) "Tu es vraiment une petite fille et il faut tout t'apprendre, même à faire pipi! » me dit elle. « Si je ne suis pas satisfaite c’est ton clito et ta chatte qui seront punis ». Je m’habille, sous son regard inquisiteur : soutien gorge taille D pour ma belle poitrine (hélas prothèse), petit chemisier, une culotte qui moule superbement ma belle vulve, des bas noirs opaques, ma jupette préférée et mes talons hauts.

Elle me maquille longuement puis me pousse devant le miroir : je ne me reconnais pas : silhouette, visage, yeux, lèvres, entrejambes, tout en moi est devenu femelle… Que vais-je donc vivre maintenant ? Elle prend son sac à main et me dit « Suis moi, nous allons arriver en retard à la soirée ». Je la suis, sortant pour la première fois vraiment en femme et m’assois sur le siège de la passagère tandis qu’elle prend les commandes…

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